Nom: siriam
Prénom: dryssaac
Âge: 17 ans
Nationalité: Français
Pratique: sport=>tir à l'arc , musique=>violoniste
Occupation: élève
Avez-vous lu le règlement ?: Oui rouge
Description
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Caractéristiques physiques : De taille moyenne (1m70), je possède des longs cheveux noirs tombant en cascade sur mes épaules et cachant mon œil gauche et une partie de mon visage, mon œil droit est bleu et personne n’a vue celle de mon œil gauche depuis longtemps. Mon teint est naturellement très claire ce qui contraste avec ma chevelure et fait ressortir les traits de mon visage. Je possède une cicatrice en travers du visage qui commence en dessous de mon œil droit et finit en haut de mon œil gauche.
La partie gauche de mon visage est tout le temps caché et je déteste exposer celle-ci, mon œil gauche est toujours mystérieusement fermés et semble ne pas vouloir s’ouvrir. En plus de cette cicatrice ma main gauche est entouré de bandage la recouvrant et la cachant complètement et ma main droite présente de multiples blessures cachées par des pansements diverses.
Au niveau vestimentaire, j’évite les couleurs clairs au profit du noir que je porte majoritairement. Je porte toujours des vêtements de manières à pouvoir recouvrir l’intégralité de mon corps comme si j’avais peur d’exposer celui-ci.
La plupart du temps je fais en sorte d’avoir un visage inexpressif mais dans certain moments de relâchement il est possible à un observateur avertit de voir une grande tristesse dans mon regard regardant au loin comme si je me rappelais d’une période douloureuse de mon passé.
Caractéristiques psychologiquesJe suis du genre à rester à l’écart préférant ne pas me lier d’amitié avec les autres de peur de revivre des événements désagréables de mon passé. Lorsqu’on tente de m’inviter dans une conversation je préfère en générale décliner l’offre et pour éviter ces invitations je me tiens en retrait, en général prés des portes ou des sortie me permettant de vite me dérober aux yeux de tous. Naturellement silencieux je sais me faire oublier et m’éclipser sans que les autres ne le voient.
Je déteste montrer mes sentiments et pour cela me suis forcé à porter cachée mes sentiments derrière un masque, un visage impassible d’où ne sort aucune expression, mais n’allez pas croire que ce visage que je montre à toujours été le mien par le passé celui-ci était bien différent.
Dans les moments d’égarements mon masque à tendance à tomber et je ne peux retenir ma peine et mes larmes. Pour éviter cela j’ai pris l’habitude de m’isoler de façon à échappé aux regards des autres.
J’ai causé de nombreux problèmes dans mon ancien établissement, blessant gravement certains élèves. Ceux-ci ont évoqués une personnalité totalement différente au niveau des faits, plus agressive parlant avec plus d’assurance, ceux-ci ont même évoqués une voix féminine. L’affaire c’est arrêté-la car ils n’avaient pas de preuve de ce qu’ils avançaient ; pour ma part je ne soucie plus de cette histoire après tout cette nuit là, elle c’est bien amusée.
~Informations personnelles~
Histoire :Dryssaac est le dernier fils d’une famille aisée. Enfant du père de famille et d’une femme de basse extraction, je n’ai jamais été aimé par ma mère adoptive qui n’a cessée de me battre et de me maltraiter. De ce traitement quotidien, mon caractère c’est endurci et j’ai eu tendance à me replier sur moi-même, pensant que ma vie ne valait pas la peine d’être vécue.
Au collège, je restais tout le temps en retrait, ma mère m’ayant interdit la fréquentation des autres enfants. C’est alors qu’elle est apparut devant moi, son visage rond été entouré par de longues boucles brunes. Me prenant la main, elle m’a entrainée auprès des autres enfants et m’a présenté à eux. Bien que gêné au début, je me suis très vite fait des amis grâce à elle et à ses encouragements. Ses rires, son sourire éclairant son visage, encore aujourd’hui je m’en rappel distinctement. Ce fut mon premier amour.
Au fur et à mesure des jours passés avec elle j’ai gagné en assurance, me redressant et regardant fièrement devant moi, je me suis fait de nombreux amis. Elle a véritablement transformé ma vie.
Cet amour n’a cessé de grandir dans les années qui ont suivis, nous nous voyons en cachette, quittant la maison tard le soir pour échapper à la surveillance de ma mère. Tout aurait put continuer comme cela, tranquillement, jusqu’à l’accident.
J’avais 15 ans au moment des faits, mois de novembre. Nous nous étions donné rendez-vous en ville mais une averse nous avait surpris. Courant sous la pluie en nous protégeant tant bien que mal nous avons finis par nous abriter sous un pont. Bavardant gaiement en attendant que la pluie cesse nous n’avions pas idée du drame qui nous attendait. La pluie cessant enfin j’ai raccompagné Celia chez elle. Celle-ci vivait seule, elle avait un petit boulot chez un commerçant du coin et vivait dans une maison délabrée pour ne pas avoir à payé de loyer. Sa pauvreté ne la gênait pas, elle prenait la vie en souriant, ne se plaignant jamais. Nous nous sommes tout les deux dirigés vers le salon, autrefois intimidé je me déplaçais dans cette maison avec aisance maintenant, connaissant par cœur les moindres recoins et cachettes de celle-ci. Alors que je regardais un dessin sommairement accroché au mur, un grand cri retentit. Me précipitant vers l’origine de ce cri je pus trouver Celia en essayant d’ouvrir la porte l’air paniquées. Nous ne tardâmes pas à sentir aussi une vague odeur de brulée. Les flammes léchèrent les bas de la porte fermées nous faisant reculer, ne pouvant sortir nous avons commencés à nous attaquer à un mur de la vieille maison afin de tenter de nous créer un passage. Lorsqu’enfin nous parvinrent a percer un passage nous étions déjà encerclés par les flammes, m’extirpant in extremis je tendis la main vers Celia, c’est alors que le plafond s’écroula sur nous.
Plus tard les sauveteurs retrouvèrent les deux jeunes gens, l’un deux gravement blessé tenais encore la main devenue froide de celle qui fût la première fille qu’il eut aimé.
Cet accident est toujours marqué sur mon visage m’empêchant d’oublier cette horrible nuit où j’avais vu mourir mon amour, mon œil gauche est resté fermé depuis bien que les médecins pensent que c’est juste psychologique. Apprenant que ma mère était l’auteur de l’incendie j’ai contenue ma colère, ne pouvant prouver mes dires. Me renfermant de nouveau sur moi-même par chagrin j’ai violement agressé et blessés deux enfants de mon école ce qui provoqua mon renvoi.
J’ai donc décidé d’aller étudier à l’étranger afin de couper les ponts avec ma famille. Après tout maintenant c’est bien plus facile sans ma mère de nous retrouver seuls tout les deux.
J’ai décidé d’intégrer l’académie Xepher en me servant des mes talents de violoniste, en espérant pouvoir réussir une année agréable tout les deux loin des contraintes.
Frères et soeurs : deux demi-sœurs